Quelques semaines après, lors de l'ouverture de la COP21 à Paris, la présidente brésilienne Dilma Roussef avait estimé que la catastrophe de Mariana était "le pire désastre écologique que le Brésil n'ait jamais connu". De son côté, la société minière et premier groupe mondial de minerai de fer, Vale, avait promis qu'il n'y ...