La fin des années 1950 est marquée par un emprunt public de 750 000$ qui permettra de moderniser les équipements de l'entreprise. On ajoute une ligne robotisée. Des machines tranchent les gâteaux et les enduisent de chocolat. La pâtisserie consomme quotidiennement 18 000 livres de sucre et 12 000 livres de farine.
